J'aime mon chum. Il est un mélange d'humour absurde, de passions diverses et de patience à l'infini. Il est dans ma vie depuis bientôt dix années et je le trouve toujours aussi hot. Voici une ode à mon amoureux.
Il se trouve laid. Quand il se regarde dans le miroir de la salle de bain, il plisse ses yeux pour se voir le moins possible tellement il ne se trouve que des défauts. Moi je le trouve beau. Il est grand, costaud, rasé (très sex !). J'aime ses bras et ses jambes, leur teint est foncé et couvert d'un duvet de poils très masculin. J'aime ses épaules. Mon chum est tout ce qui a de plus viril. Et ce qui fait exploser encore plus son charme physique, c'est qu'il ne le sait pas, il ne croit pas qu'il plait. Ça le garde humble et ça aussi c'est une partie de son charisme.
Il est drôle. Au petit quotidien il me fait rire. Je ne me tanne pas de son humour. Il a un humour intelligent, sarcastique, recherché. Un humour prompt, spontané, animé. Une imagination incroyable. Une façon de voir les choses dont vous n'aviez jamais osé penser. C'est un vif d'esprit.
Il a une patience irrationnelle ! Un sang-froid imperturbable. Il a un don pour éteindre les feux, désamorçer les bombes qui feraient en sorte que des conflits horribles pourraient s'installer entre moi-même et des membres de ma famille par exemple. Quand il est là je sais que ça se terminera bien. Il est mon roc.
C'est un communicateur-né. Un vulgarisateur. Un rassembleur. S'il était animateur de radio, il ferait exploser les cotes d'écoutes. Il a des arguments solides pour toutes ses opinions et sait choisir les mots pour les transmettre. Il est plein de convictions, de confiance. Quand il parle on ne peut pas ne pas l'écouter, on ne peut pas ne pas prendre en considération ce qu'il dit.
Il s'intéresse à un tas de choses. Des sports en général jusqu'à la cuisine, en passant par les arts, les sciences, le cinéma, le graphisme, le plongeon acrobatique, la littérature, l'écriture, la musique. Il est bon dans tout.
Il est authentique. Incapable de mensonges. J'ai une confiance totale en lui, en ses actions. Il ne mentira jamais pour mieux paraître ou pour masquer ses lacunes. Il est vrai. Dans ses forces comme dans ses faiblesses.
Il est comme ça mon chum. Je l'aime et cela va bien au-delà de l'amour passionnel.
dimanche 19 décembre 2010
mardi 14 décembre 2010
Croyances et traditions
Je suis une fille croyante. Fondamentalement. Je crois en une intelligence supérieure et aimante, malgré toutes les atrocités qui se déroulent sous le soleil. Je crois que l'on a été créés libres - par amour, car celui qui aime laisse libre - et que c'est justement cette liberté qui nous a menée là où nous sommes. Ça se résume en gros à cela.
C'est très simpliste à comprendre mais pourtant trop de gens ne s'arrêtent même pas à raisonner cette théorie. Les opposants me crieront que ce n'est qu'une façon d'expliquer l'inexplicable, de croire en des théories dépassées et non scientifiques qui nous gardent aveugle ou blablabla. Ce n'est pas le but de ce billet aujourd'hui.
Là où je veux en venir, c'est à propos de la grande fête que nous nous apprêtons à fêter dans dix jours à peine. Noël. Qu'est-ce qu'une société de non-croyants a à vouloir autant fêter cette fête ? À dépenser des milliers de dollars par maisonnée, à s'endetter pour le faire, à décorer ses maisons, à bouffer, à boire et surboire, bref à consommer autant pour «fêter» pour du vent ? C'est la fête des commercants le vingt-cinq décembre ? Que fêtez-vous, non croyants ? Je trouve que les gens sont bien emballés par cette fête ; l'ambiance se dessine bien tôt en décembre, les gens cuisinent, magasinent, dépensent beaucoup, s'apprêtent à recevoir la parenté. Ils parlent du «temps des fêtes», sont plus heureux en général que le reste de l'année.
Je n'ai rien contre tout ça, j'aime moi-même beaucoup ce temps de l'année. Là où j'étouffe, c'est quand je m'arrête à penser que tous ces gens se préparent très longtemps pour fêter pour du vent. Que représente le «Joyeux Noël» sur toutes les lèvres au Québec ? Rien. Nothing. Nada. Bouffe, objets, alcool. Rien de plus. Dans une société athée comme la nôtre, pourquoi n'assume-t-on pas que cette fête est inutile ? Par tradition ? Parce qu'on aime trop surconsommer ?
Vous êtes-vous déjà arrêtés à penser à ce à quoi vous êtes en train de fêter le vingt-cinq décembre ?
C'est très simpliste à comprendre mais pourtant trop de gens ne s'arrêtent même pas à raisonner cette théorie. Les opposants me crieront que ce n'est qu'une façon d'expliquer l'inexplicable, de croire en des théories dépassées et non scientifiques qui nous gardent aveugle ou blablabla. Ce n'est pas le but de ce billet aujourd'hui.
Là où je veux en venir, c'est à propos de la grande fête que nous nous apprêtons à fêter dans dix jours à peine. Noël. Qu'est-ce qu'une société de non-croyants a à vouloir autant fêter cette fête ? À dépenser des milliers de dollars par maisonnée, à s'endetter pour le faire, à décorer ses maisons, à bouffer, à boire et surboire, bref à consommer autant pour «fêter» pour du vent ? C'est la fête des commercants le vingt-cinq décembre ? Que fêtez-vous, non croyants ? Je trouve que les gens sont bien emballés par cette fête ; l'ambiance se dessine bien tôt en décembre, les gens cuisinent, magasinent, dépensent beaucoup, s'apprêtent à recevoir la parenté. Ils parlent du «temps des fêtes», sont plus heureux en général que le reste de l'année.
Je n'ai rien contre tout ça, j'aime moi-même beaucoup ce temps de l'année. Là où j'étouffe, c'est quand je m'arrête à penser que tous ces gens se préparent très longtemps pour fêter pour du vent. Que représente le «Joyeux Noël» sur toutes les lèvres au Québec ? Rien. Nothing. Nada. Bouffe, objets, alcool. Rien de plus. Dans une société athée comme la nôtre, pourquoi n'assume-t-on pas que cette fête est inutile ? Par tradition ? Parce qu'on aime trop surconsommer ?
Vous êtes-vous déjà arrêtés à penser à ce à quoi vous êtes en train de fêter le vingt-cinq décembre ?
lundi 13 décembre 2010
Attention : Danger
Hier, ma petite bébé s'est brûlée le bout de huit doigts sur dix au deuxième degré sur le calorifère de la porte-patio de ma maison. Pas fort, vous allez me dire. On n'avait pas sécurisé cette source intense de chaleur de la maison, de notre puce. En fait, j'avais déjà pensé au fait qu'un jour elle se ferait mal là-dessus, puisqu'elle y grimpe souvent pour aller déposer ses petites mitaines sur la porte vitrée froide pour y voir ce qui se passe à l'extérieur. Elle ne marche pas encore. J'y avais pensé oui. Mais jamais je n'avais imaginé que ça pourrait avoir un effet aussi puissant. Des cloches d'eau se sont misent à pousser sur ses petits doigts fragiles, d'une hauteur presqu'aussi épaisse que ses doigts eux-mêmes.... vous imaginez ?! Qui n'a jamais expérimenté la douleur intense d'une infime brûlure sur sa peau ? La douleur est atroce. Je vous épargne la description de ses petits pleurs d'enfant à elle...
Mais diable pourquoi est-ce que personne dans mon entourage qui a des enfants ne protège ses calorifères ? Pourquoi n'y a-t-il rien sur le marché pour les calorifères dans les départements de sécurité pour bébé des grands magasins ? On met des barrières sur nos portes d'armoires pour les éloigner des produits toxiques, on met des capuchons isolants dans nos prises électriques, on barre les tiroirs qui ne contiennent que des serviettes de tables pour ne pas que bébé s'y coince les doigts, mais on ne protège pas les sources de chaleur ?? Pourquoi est-ce que le guide Mieux-Vivre avec notre enfant -la BIBLE des mamans- ne nous en parle pas non plus ? Est-ce que c'est moi qui est idiote de ne pas avoir été au courant ou quoi ?
Ma bébé s'est retrouvée à l'urgence -et prioritaire- pour faire bander en entier ses petites minettes. Pauvre ma petite bébé... Ce matin lorsque j'ai appelé la garderie pour aviser que ma puce n'y serait pas, drôle de coïncidence, il y avait justement un autre enfant de son groupe à qui c'était arrivé la semaine dernière. ÇA NE VOUS EST PAS PASSÉ À L'IDÉE DE NOUS AVISER DE FAIRE ATTENTION À ÇA ??
Voilà, ma bulle est passée. Je devais avoir un beau congé aujourd'hui pour aller magasiner mes cadeaux de Noël tranquille loin du samedi. Je suis plutôt dans la gestion des bandages et autres trucs qu'elle n'est plus capable de faire. SVP, avisez vos proches de protéger leurs calorifères !!!
Peut-être devrais-je faire un appel aux médias pour aviser la population ? J'y pense sérieusement.
Mais diable pourquoi est-ce que personne dans mon entourage qui a des enfants ne protège ses calorifères ? Pourquoi n'y a-t-il rien sur le marché pour les calorifères dans les départements de sécurité pour bébé des grands magasins ? On met des barrières sur nos portes d'armoires pour les éloigner des produits toxiques, on met des capuchons isolants dans nos prises électriques, on barre les tiroirs qui ne contiennent que des serviettes de tables pour ne pas que bébé s'y coince les doigts, mais on ne protège pas les sources de chaleur ?? Pourquoi est-ce que le guide Mieux-Vivre avec notre enfant -la BIBLE des mamans- ne nous en parle pas non plus ? Est-ce que c'est moi qui est idiote de ne pas avoir été au courant ou quoi ?
Ma bébé s'est retrouvée à l'urgence -et prioritaire- pour faire bander en entier ses petites minettes. Pauvre ma petite bébé... Ce matin lorsque j'ai appelé la garderie pour aviser que ma puce n'y serait pas, drôle de coïncidence, il y avait justement un autre enfant de son groupe à qui c'était arrivé la semaine dernière. ÇA NE VOUS EST PAS PASSÉ À L'IDÉE DE NOUS AVISER DE FAIRE ATTENTION À ÇA ??
Voilà, ma bulle est passée. Je devais avoir un beau congé aujourd'hui pour aller magasiner mes cadeaux de Noël tranquille loin du samedi. Je suis plutôt dans la gestion des bandages et autres trucs qu'elle n'est plus capable de faire. SVP, avisez vos proches de protéger leurs calorifères !!!
Peut-être devrais-je faire un appel aux médias pour aviser la population ? J'y pense sérieusement.
dimanche 12 décembre 2010
La vie est incernable
La vie est remplie de hauts et de bas. C'est comme ça, personne n'y échappe. Tantôt elle vous apporte des joies d'une grandeur dont elle seule en est capable, tantôt elle vous scie litéralement les jambes en pièces.
Ma vie à moi est remplie de hauts et de bas. Mais on dirait que mes hauts sont plus hauts et mes bas plus bas que ceux des autres. Je suis une hyper émotive. Je suis une extrêmiste.
Je n'aime pas facilement, mais quand j'aime, j'aime plus que les autres. Je suis capable de beaucoup de haine, mais j'aime plus que les autres. On me dit ricaneuse à souhait, le meilleur public du monde. Je sais reconnaître une bonne blague et j'admire son auteur puisque je ne suis pas capable d'humour. Mon cerveau n'est pas programmé pour créer la dérision, mais il sait la reconnaître et la trouve formidable. On me dit bougonneuse, et c'est vrai. Je suis très irritable pour des choses qui n'en opportunent pas beaucoup.
Je suis une passionnée qui peut détester et aimer très fort une même personne. Car la ligne est mince entre l'amour et la haine. J'aimerais que les relations amoureuses soient différentes de ce qu'elles sont présentement, j'aimerais certaines choses qui ne s'écrivent même pas.
Je m'attriste sincèrement du malheur qui afflige les gens que j'aime. Cela me fait autant de peine que si c'était à moi que ça arrivait. Je trouve que les gens en général ne possèdent pas la réelle compassion. Je pense que plusieurs personnes se réjouissent secrètement du malheur d'autrui, même s'ils aiment cette dite personne.
J'étais la personne typique au post-partum suite à une grossesse. J'ai les émotions à fleur de peau. J'allais tomber dedans à coup sûr. J'y ai fais face et je me sens mieux. Je n'ai plus peur d'en parler puisque ce n'est qu'une question hormonale. Les épreuves tranforment les gens comme nul autre. C'est comme ça.
La vie est remplie de hauts et de bas, de remises en questions, de bouleversements parfois horribles.
La vie est incernable.
Ma vie à moi est remplie de hauts et de bas. Mais on dirait que mes hauts sont plus hauts et mes bas plus bas que ceux des autres. Je suis une hyper émotive. Je suis une extrêmiste.
Je n'aime pas facilement, mais quand j'aime, j'aime plus que les autres. Je suis capable de beaucoup de haine, mais j'aime plus que les autres. On me dit ricaneuse à souhait, le meilleur public du monde. Je sais reconnaître une bonne blague et j'admire son auteur puisque je ne suis pas capable d'humour. Mon cerveau n'est pas programmé pour créer la dérision, mais il sait la reconnaître et la trouve formidable. On me dit bougonneuse, et c'est vrai. Je suis très irritable pour des choses qui n'en opportunent pas beaucoup.
Je suis une passionnée qui peut détester et aimer très fort une même personne. Car la ligne est mince entre l'amour et la haine. J'aimerais que les relations amoureuses soient différentes de ce qu'elles sont présentement, j'aimerais certaines choses qui ne s'écrivent même pas.
Je m'attriste sincèrement du malheur qui afflige les gens que j'aime. Cela me fait autant de peine que si c'était à moi que ça arrivait. Je trouve que les gens en général ne possèdent pas la réelle compassion. Je pense que plusieurs personnes se réjouissent secrètement du malheur d'autrui, même s'ils aiment cette dite personne.
J'étais la personne typique au post-partum suite à une grossesse. J'ai les émotions à fleur de peau. J'allais tomber dedans à coup sûr. J'y ai fais face et je me sens mieux. Je n'ai plus peur d'en parler puisque ce n'est qu'une question hormonale. Les épreuves tranforment les gens comme nul autre. C'est comme ça.
La vie est remplie de hauts et de bas, de remises en questions, de bouleversements parfois horribles.
La vie est incernable.
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