Toute bonne chose a une fin.
Et c'est bien comme ça. La fin des études marque le début de notre valeur monétaire sur le marché du travail, la fin de l'enfance marque une certaine délivrance pour nos parents, la fin d'une année qui a pu être terriblement marquante peut s'ouvrir sur un nouvel espoir, la fin des amours passagers qui n'auraient pas durés au-delà du temps peut être libérateur, la fin d'un orage de la vie qui ouvre la porte à de nouvelles avenues est essentielle à la survie.
Et c'est bien comme ça. La fin des études marque le début de notre valeur monétaire sur le marché du travail, la fin de l'enfance marque une certaine délivrance pour nos parents, la fin d'une année qui a pu être terriblement marquante peut s'ouvrir sur un nouvel espoir, la fin des amours passagers qui n'auraient pas durés au-delà du temps peut être libérateur, la fin d'un orage de la vie qui ouvre la porte à de nouvelles avenues est essentielle à la survie.
L'important c'est qu'il y ait une fin. Un affranchissement, une délivrance. L'important c'est de ne pas patauger dans le mal-être, dans l'inconnu, dans l'attente. L'important c'est de passer à autre chose, aller de l'avant. C'est de savoir où on s'enligne, savoir ce que les autres attendent de nous et savoir aussi à quoi s'attendre de soi-même.
Parce qu'un des pires sentiments qu'on puisse vivre c'est bien celui de ne pas savoir, d'être dans un entre-deux, d'être ambivalent. C'est un cruel sentiment.
Je suis faite d'un tissu de défauts, mais je vais au bout de moi-même et de ce que je veux dans la vie, et je n'aurai pas de regrets. Je sais ce que je veux et je sais ce que je vaux, quoiqu'on en pense. Ma vie ne sera jamais un entre-deux, parce qu'un entre-deux c'est invivable.
Toute bonne chose a une fin. Et les âmes-soeurs sont faits pour vivre ensemble.